introduction aux principes de la médecine moderne

Avez-vous parfois le sentiment que vous étiez mieux avant de commencer une nouvelle pilule ? Environ 9,6 millions d’Américains âgés subissent des effets secondaires négatifs de leurs médicaments chaque année. Des effets secondaires connus sont traitées comme si ils étaient de nouvelles maladies et des médicaments supplémentaires sont prescrits pour traiter les effets secondaires au lieu d’essayer de les prévenir.
Plus de deux millions d’Américains sont envoyés à l’hôpital ou gravement blessés par des effets secondaires de chaque année. En fait, avec plus de 100.000 décès chaque année, les réactions indésirables aux médicaments sont une des principales causes de décès aux États-Unis – et bon nombre de ces cas sont évitables !
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« Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie pharmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »

« Nous pourrions sans grande difficulté supprimer 95% des dépenses liées aux médicaments, et nous aurions même une population en meilleure santé. » « Les médicaments mis sur le marché sont, d’une façon ou d’une autre, de la fausse monnaie. Le médecin qui prescrit ne sait pas forcément ce qu’il fait. La raison? Les décideurs du système de santé se laissent en grand nombre corrompre par les groupes pharmaceutiques ». Pour Marcia Angell, médecin et ancienne membre de la rédaction en chef du New England journal of Medecine, « Il n’est plus possible de croire les recherches publiées, ni de se fier au jugement de son médecin de famille »

« Quand un crime a entraîné la mort de nombreuses personnes, nous devrions le considérer comme un CRIME CONTRE L’HUMANITE. Que des centaines ou des milliers de personnes soient tuées à des fins de gains personnels par les armes ou par les pilules ne doit faire aucune différence pour notre perception du méfait »

professeur Peter C. Gøtzsch

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« LA MEDECINE EST DEVENUE FOLLE » (ARTE télévision)

les autres émissions, reportages, vidéos, sur les médicaments, la médecine et surtout les escroqueries, a ne pas manquer :
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sécurité sociale

 « système complexe de racket, de blanchiment et de recyclage de devises entre un producteur (le laboratoire pharmaceutique), un grossiste (le pharmacien), un dealer (le médecin) et un consommateur de drogues (l’assuré), sous la surveillance de deux organisations criminelles nationales (l’Etat et l’Industrie du médicament). »

http://remue.net/cont/winckler02.html

« assurance maladie : on vous assure la maladie à vie !« 

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sécurité sociale

La France se situe au 14ème rang pour la mortalité néonatale et infantile. On assiste à une véritable « épidémie » de cancers (365 000 en 2011 contre 160 000 en 1980), sans réelle amélioration du pronostic, tandis que la morbidité par cancer est supérieure à celles de nos voisins. La fréquence des maladies neuro-dégénératives et auto-immunes subit une évolution exponentielle : 20 000 scléroses en plaques en 1994 contre 83 000 en 2006 ; 750 000 maladies d’Alzheimer en 2010 avec 250 000 nouveaux cas annuels ; augmentation régulière de la fréquence du diabète, des pathologies thyroïdiennes, de l’autisme, de l’hyperactivité… Augmentation considérable de la fréquence des allergies respiratoires et digestives, de l’hyperactivité, de la schizophrénie, de l’épilepsie. Avec la médicalisation de la société, les Français sont aussi les plus gros consommateurs, de tranquillisants, d’antibiotiques (dont la consommation s’était réduite ces dernières années avant de reprendre de plus belle), de pesticides, de vaccins, de césariennes, de péridurales, d’appendicectomies, d’ablation des végétations, de paracenthèses, d’amalgames au mercure….
Main basse sur l’assurance maladie, un système corrompu bien rodé. Le système est en faillite…mais pas pour tout le monde.
la guérison et la sécurité sanitaire des malades deviennent préoccupantes.
“en France la médecine c’est la cata”
Le vrai problème, c’est que les laboratoires pharmaceutiques se servent de l’assurance maladie comme d’une vache à lait, alors qu’ils sont la branche industrielle la plus profitable au monde, devant les banques et bien devant le pétrole
La guerre des médicaments, pourquoi sont ils si chers ?
ce livre défraye la chronique belge depuis des mois. Il révèle comment les holdings pharmaceutiques – avec la collaboration du monde politique – escroquent massivement et systématiquement l’assurance maladie, incitent à des pratiques médicalement injustifiées et laissent à la traîne les personnes dénuées de pouvoir d’achat

« Le ministère ne protège plus les malades, ce n’est pas son soucis, son soucis est de soigner l’industrie pharmaceutique »

« La force des laboratoires est d’être capable de faire vendre des produits qui sont totalement inutiles, il suffit de faire croite aux médecins, qu’ils sont utiles »

« Nous sommes sous une dictature »


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sécurité sociale et millions d’euros gaspillés

Les statines, des médicaments anti-cholestérol, ne réduisent pas la mortalité des personnes sans antécédent d’infarctus.
Le Mediator, le médicament utilisé comme coupe-faim à l’origine de 500 à 2 000 morts, a coûté environ 1,2 milliard d’euros de remboursement à la Sécurité sociale
Selon un rapport, les assurés ne représentent qu’une part minime des arnaques à la Sécurité sociale.Les professionnels de santé seraient les plus gourmands d’arnaque  à l’assurance-maladie, selon un rapport.
facturation de prestations fictives ou de falsifications d’ordonnances aurait couté environ 120 millions d’euros
Le Télégramme a exhumé une récente étude faisant état d’une estimation… 68 fois plus élevée : 10,576 milliards d’euros ! La Cnam conteste. Des députés demandent des comptes.
(Le Canard Enchaîné 22/09/04) 180 dirigeants français des caisses de protection sociale ont séjourné, aux frais de la princesse, dans les plus luxueux hôtels de Pékin…Coût du séjour des fonctionnaires de la sécurité sociale française : 700000 euros »
C’est une bombe : Le laboratoire danois Lundbeck a escroqué les systèmes d’assurance maladie du monde entier ! Le Bureau of Investigative Journalism, repris par le journal The Independant révèle, après une longue enquête, que l’unique étude indépendante démontrant que le Seroplex est meilleur que le Seropram avait en fait été truquée par le laboratoire Lundbeck, qui vend les deux produits
Le pillage de la Sécurité Sociale 75% de ces médicaments, recensés dans le livre, sont remboursés par la Sécurité sociale dont une large partie de médicaments inutiles, de « me too » et de médicaments sur-prescrits (jusqu’à 8 à 10 fois). A l’heure où les déficits s’accumulent et plombent tout espoir de reprise de la croissance, ce livre salutaire pointe sans concession le scandale de la dilapidation des deniers publics et le véritable pillage des caisses de la Sécu par une industrie pharmaceutique dont les auteurs signalent eux-mêmes qu’elle est, en France, « la plus lucrative, la plus cynique, la moins éthique de toutes les industries ». Le déremboursement de ces médicaments, rapporteraient immédiatement 10 à 15 milliards d’euros à la Sécurité Sociale : de quoi redresser les comptes de l’Assurance Maladie pour longtemps et sauver le système de Santé ; François Hollande et sa Ministre de la Santé Marisol Touraine seraient bien avisés de se pencher sur cette source d’économies représentant à elle seule la moitié des 30 milliards qui font défaut au budget de l’état en 2013 ; Martin Hirsch ne s’y est pas trompé ; il salue la démarche et souligne la nécessité d’ouvrir un débat trop longtemps étouffé, et que Philippe Even et Bernard Debré ont eu le courage de soulever : « Au moment où l’on traque les déficits publics, dans une situation socialement si difficile, se pose une question simple : le choix entre rogner sur des prestations indispensables aux plus vulnérables ou chercher à économiser 5 à 10 milliards d’euros sur des dépenses pharmaceutiques parmi les plus élevées au monde, incluant des médicaments, comme le rappelle ce livre, et comme l’a démontré le scandale du Mediator, au mieux inutiles ou efficaces, au pire dangereux ».
à la limite de la délinquance par certains médecins
Un médicament sur deux est inutile, un gaspillage qui coûte 10 à 15 milliards d’euros à la Sécu : un an après un rapport au vitriol sur le Mediator, les médecins spécialistes Philippe Even et Bernard Debré lancent une nouvelle charge contre l’industrie pharmaceutique.
Selon le Pr Philippe Even, le cholestérol est « un ennemi imaginaire », ce qui en fait « la plus grande erreur médicale de tous les temps » en même temps que « la plus grande arnaque, escroquerie de l’industrie pharmaceutique ».
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Quelques escroqueries et condamnations

Trois ans de prison ferme. Une terrible fin de parcours pour ce médecin d’Evry, déclaré coupable mardi d’une énorme fraude à la Sécurité sociale. Présenté libre à la cour, le docteur Samir Rafik Said est ressorti du tribunal d’Evry les menottes aux poignets. En 2005, ce médecin de famille, décrit à l’époque comme « disponible et à l’écoute » par ses patients, avait commencé à attirer l’attention de la justice en déclarant un chiffre d’affaires avoisinant 1,2 M€. Un résultat faramineux pour un homme exerçant seul. Quelques mois plus tard, les pratiques frauduleuses dont usait le praticien sont mises au jour. Les enquêteurs établissent que, d’après ses comptes, le médecin aurait pratiqué 147 consultations quotidiennes pendant trois ans.
Un médecin et son épouse comparaissaient le 7juin dernier pour avoir perçu des honoraires pour de fausses consultations (Le Télégramme du 8juin). Il était reproché au généraliste vannetais d’avoir, avec son épouse, organisé un double circuit de malades au sein de son cabinet médical. Les patients toxicomanes étaient orientés vers une salle d’attente différente pour être reçus par l’épouse du médecin, qui, alors qu’elle n’était pas docteur, leur prescrivait des produits de substitution.
Un médecin généraliste a été condamné jeudi par le tribunal correctionnel de Chartres à 10 mois de prison avec sursis et au remboursement de quelque 130.000 euros à plusieurs caisses de régime de la Sécurité sociale, pour escroquerie
À l’époque, une enquête révèle que ce médicament serait au coeur d’un trafic entre août 2008 et juin 2011 et coûté pas moins de 170 000 euros à la CPAM, partie civile lors du procès où comparaissaient également deux médecins et trois pharmaciens de la petite commune située à l’ouest d’Arras. Ces derniers étaient, pour mémoire, prévenus d’avoir prescrit pour les uns et délivré pour les autres ce puissant antalgique dérivé de la morphine, habituellement utilisé comme traitement contre les douleurs pour les malades du cancer en fin de vie et détourné par certains accros à l’héroïne.
Un médecin a été condamné vendredi par la cour d’appel de Paris à 30 mois de prison dont un an ferme pour une escroquerie à la Sécurité sociale estimée à 2 millions d’euros, peine alourdie par rapport au jugement de première instance. Albert Claude Tahar, soupçonné d’avoir fourni des dizaines d’arrêts de travail injustifiés, ayant servi à percevoir des indemnités indues, devra également payer quelque 50000 euros de dommages et intérêts aux caisses d’assurance-maladie de Paris et de départements voisins victimes de l’escroquerie.
Un médecin généraliste a été condamné jeudi par le tribunal correctionnel de Chartres à 10 mois de prison avec sursis et au remboursement de quelque 130.000 euros à plusieurs caisses de régime de la Sécurité sociale, pour escroquerie.
Deux à trois ans d’emprisonnement, dont 18 mois avec sursis, ont été requis aujourd’hui en appel à l’encontre d’un des deux médecins soupçonnés d’être impliqués dans une escroquerie à la Sécurité sociale estimée à deux millions d’euros
Déjà condamné à 18 mois de prison, fin novembre 2011 au tribunal correctionnel de Montpellier, pour avoir participer à une vaste fraude de la Cotorep, Jacques Bouyeron avait fait appel de la décision
Le ministère public avait requis 20 mois de prison et 10000 euros d’amende à l’encontre du médecin, ainsi que six mois de prison et 1000 euros d’amende pour les patients impliqués
Le préjudice subi par les caisses de Sécurité sociale est estimé à 3 millions de francs par an.
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assurance maladie: on vous assure la maladie à vie !

Voici quelques extraits de l’excellent et audacieux article de la revue « Protégez-vous » du mois de mai 2010. Un dossier à lire et à conserver dans vos archives ! Un dossier sur la collusion entre l’industrie pharmaceutique et le monde médical, sur les études bidons réalisées par des équipes de scientifiques financées par des compagnies privées, rédigées par des « écrivains fantômes » et cautionnées par des « éminents » scientifiques qui n’ont jamais participé aux études…

Journaliste responsable du dossier : Rémi Maillard pour l’édition de mai 2010.

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« Voire à l’apparition de nouvelles pathologies créées de toutes pièces et popularisées par des « campagnes d’information » souvent alarmistes à la télévision et dans les grands journaux. »

« Une maladie pour chaque pilule ».

« La timidité, par exemple, est devenue un « trouble d’anxiété sociale », la brûlure d’estomac a été rebaptisée « maladie du reflux gastro-oesophagien » et la tension prémenstruelle s’est métamorphosée en « trouble dysphorique prémenstruel ». Quant à l’impuissance, elle porte désormais le nom savant de « dysfonction érectile »… Le but ? Faire de chacun de nous un consommateur de pilules en puissance, si possible sur une longue durée, estime Dr. Marc Zafran. »

« Cette stratégie fonctionne : les dépenses en médicaments des Canadiens ont été multipliées par quatre en 20 ans, pour atteindre 30 milliards de dollars en 2009. Dans le seul domaine de la psychiatrie, le nombre de maladies mentales officiellement reconnues aux États-Unis est passé de 26 à 395 depuis la Seconde Guerre mondiale, rapporte le journaliste scientifique allemand Jörg Blech, auteur d’un livre-enquête sur les dérives de l’industrie pharmaceutique.

« Coïncidence troublante, 95 des 170 experts qui ont participé à l’édition la plus récente du DSM (manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) de l’Association américaine de psychiatrie, la « bible » des psychiatres en Amérique du Nord et en Europe, entretenaient des liens financiers avec l’industrie. »

« Il n’est donc pas étonnant, relève-t-il, que « certains nouveaux médicaments, notamment pour traiter l’hypertension et la schizophrénie, s’avèrent en fin de compte cliniquement moins efficaces que leurs prédécesseurs bien qu’ils soient vendus jusqu’à 10 fois plus cher. »

« Au total, les pharmas investisssent plus de 60 000$ dans chacun des quelques 700 000 médecins étasuniens ; au pays, ce montant serait de l’ordre de 20 000$. »

« Cela va du financement commercial des universités aux essais cliniques biaisés, des pseudo-publications scientifiques à l’abaissement régulier des seuils de facteurs de risque pour certaines maladies, de l’éducation continue des médecins aux visites incessantes des représentants pharmaceutiques, qui nous apportent des échantillons gratuits. Sans oublier le financement des congrès, les repas payés à l’hôpital ou au cabinet, les réunions commanditées et les soupers-conférences dans de grands restaurants. »

« Même le médecin le plus compétent n’est plus en mesure d’obtenir des informations neutres et objectives lui permettant de prescrire les produits les plus efficaces pour ses patients. » – Marc-André Gagnon, Université McGill

« Les laboratoires financent des essais cliniques dont ils analysent eux-mêmes les résultats. Ils font ensuite appel à des « ghoswriters », des « auteurs fantômes », pour écrire des articles qu’ils font souvent revoir et signer par des « leaders d’opinion », c’est-à-dire des chercheurs reconnus pour leur expertise. Puis ils s’arrangent pour les faire publier, si possible dans des revues prestigieuses. Finalement, ils obtiennent une masse critique de littérature scientifique qui détaille les bienfaits du médicament pour diverses utilisations, mais omet, ou mentionne à peine, ses effets secondaires. Ils envoient alors leurs représentants montrer cette documentation aux médecins afin de les convaincre que leur produit est le meilleur. »

« À l’arrivée, on finit donc par se retrouver avec une littérature biaisée ».

« Plusieurs études indiquent que les essais financés par l’industrie sont de trois à cinq fois plus susceptibles de fournir des résultats favorables que ceux qui sont réalisés avec des fonds indépendants. »

« Les médecins ont beau protester qu’ils sont autonomes et insensibles aux pressions extérieures ou à la publicité, toutes les études montrent que ces visites modifient leurs habitudes de prescription. »

« Des documents internes d’Eli Lilly, le fabricant du célèbre antidépresseur Prozac, montrent qu’au début des années 2000 ses représentants avaient pour mission d’inciter les médecins de première ligne à établir un diagnostic de « trouble bipolaire »… et à prescrire à leurs patients son antipsychotique Zyprexa. »

« Les abus sont si fréquents que la plupart des grandes pharmas doivent régulièrement répondre d’accusations de pratiques commerciales frauduleuses. En 2004, par exemple, Pfizer a accepté de payer 450 millions de dollars pour mettre fin à des poursuites engagées à son encontre aux États-Unis. »

« De 2004 à 2009, Pfizer, Eli Lilly, Bristol-Myers Squibb et quatre autres compagnies ont ainsi déboursé plus de sept milliards en amendes et pénalités de toutes sortes. »

« Les pharmas débordent d’imagination. L’an dernier, à l’occasion d’un procès en Australie, on a découvert que pour faire mousser les ventes de son très controversé anti-inflammatoire Vioxx, Merck avait créé un faux journal médical, publié sous le label d’Elsevier, un éditeur scientifique réputé. »

« Lorsque les facultés sont massivement financées par des sociétés privées, que celles-ci s’associent à tous les évènements organisés sur les campus, le risque est grand qu’elles finissent par faire partie de l’univers mental et culturel des étudiants. »

« En 2008, un article du New England Journal of Medecine a passé en revue 74 essais cliniques d’antidépresseurs. Ses conclusions sont édifiantes : 37 études positives sur 38 avaient été publiées tandis que 33 des 36 études négatives ne l’avaient jamais été, ou seulement sous une forme mettant en évidence un résultat positif. »

« Une fois sur cinq, d’importantes informations concernant l’innocuité d’un médicament n’apparaissent qu’après sa mise en marché, affirmait en 2006 le Dr. Robert Peterson, directeur général de la Direction des produits thérapeutiques à Santé Canada de 2000 à 2005. »

« Mais quand vient le temps de vérifier qu’ils n’ont pas d’effets indésirables, il n’y a plus d’argent ».

http://consciencedupeuple2007.blog.mongenie.com/index.php?idblogp=937198

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Prix et catastrophe impliquant une chimiothérapie toxique dans le traitement du cancer

La chimiothérapie toxique, à savoir, fait très mal en ce qui concerne les coûts, la rentabilité, résultats à long terme et l’utilité dans les premiers stades du traitement préventif. Il n’est pas rare de rencontrer des factures énormes pour le traitement: $ 200,000 – $ 600,000 pour le cancer du sein (Moss), 84 000 $ (cancer de l’ovaire, Orlando), 220,000 $ pour le cancer du sein (Boston), 325.000 marks allemands pour le cancer du sein (Heidelberg). « Cela nous a coûté 300.000 marks de tuer le patient dans les 10 mois après la première diagnostiquer un lymphome non hodgkinien »
Enfin, j’ai pu avoir connaissance de la facture d’une seule séance de chimio «douce»: 2600 €uros. Mais selon le cocktail, la facture peut atteindre dans certains cas, paraît-il, plus de 6000 €uros. Qui paie? La Sécurité Sociale bien sûr; mais la Sécu, c’est le contribuable, donc nous. Multiplié par 20 séances et par 60000 cancéreux chimiqués par an (en voie de progression constante), cela donne sur une base moyenne de 4500 €uros, le chiffre de 90.000 €uros que rapporte chaque cancéreux, et cela pour un jackpot annuel de 5,4 milliards d’€uros.
Le livre noir du médicament (extrait non disponible sur internet)
“Que ce soit l’avastin ou d’autres “mab”, le prixx d’une chimiothérapie peut atteindre 100 000 dollars, pour une échelle de prix comparable en Europe.Quant à leur efficacité, elle est à peine meilleure que les anciens triatments. Le gain de vie moyen de ces nouveaux miracles de la biotechnologie est de quelques mois, voire quelques jours.
hopital : 5000 euros/jour en cancerologie
Les laboratoires pharmaceutiques – dont les bénéfices (15 à 25 % du chiffre d’affaires) sont indécents, particulièrement en temps de crise – imposent des prix scandaleux qu’aucun État responsable ne devrait accepter, sous aucun prétexte. À titre d’exemple, dix-huit semaines de traitement avec une molécule ciblée comme le cetuximab (Erbitux* du laboratoire Merck) coûtent en moyenne 80 000 dollars et n’améliorent la survie médiane que de 1,2 mois. Dans sa grande bonté, le groupe pharmaceutique allemand Merck ne livre plus ce médicament contre le cancer aux hôpitaux publics grecs en raison de factures impayées. « Cela n’affecte que la Grèce, où nous avons été confrontés à de nombreux problèmes. Cela ne concerne que ce produit », explique M. Zachert, directeur financier de Merck au Börsen-Zeitung le 3 novembre 2012. Cynique ou inconscient, il ajoute : « Les Grecs pourront toujours se procurer l’Erbitux* dans les pharmacies. » Avec quel argent ? L’anticancéreux Erbitux* est le deuxième médicament sur ordonnance de Merck le plus vendu. Il a représenté un chiffre d’affaires de 855 millions d’euros en 2011. Ne pleurez pas pour Merck : il publie un bénéfice trimestriel meilleur que prévu le 26 octobre 2012 quelques jours avant la « punition » infligée aux hôpitaux grecs. Le chiffre d’ affaires s’est établi à 11,5 milliards de dollars. Merck anticipe un chiffre d’affaires 2012 au même niveau ou proche de celui de 2011 sur la base de taux de change constants.
extrait de « Mensonges et verites  » sur la médecine de Diona R KIRSCH
UN DOCUMENTAIRE D’INTRODUCTION  INCONTOURNABLE SUR LE CANCER

extraits :

« on estime que d’ici 2020, aux USA, 50 % des cancers seront induits par les médicaments ou les radiations médicales, la médecine devenant ainsi, bientôt, la principale cause de cancer » docteur ben Johnson

« Ce n’est pas le cancer, qui fait vraiment mal aux gens, statistiquement ; 42 à 46 % des patients qui ont un cancer meurent de cachexie,…, ils perdent, essentiellement toute leur masse corporelle, le reste, entre 54 et 58 % meurent des traitements. En d’autres termes, personne ne meurt du cancer. » docteur rashid Buttar

« 97 % des personnes qui subissent une chimiothérapie sont mortes, dans les cinq ans, cela a été publié en 2004 dans le journal of oncologie…..C’est tout a fait vrai encore aujourd’hui, depuis, cela n’a pu qu’empirer »

 

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Des marges à faire pâlir Louis Vuitton

« Plus cher, c’est souvent mieux que pas cher du tout » Une boîte de 15 comprimés de Clarityne 10 mg contient pour 0,09 dollars de produits actifs, pour un prix de vente au patient de 5,54 euro (+ 7 914 %). Une boîte de Tahor (anti-cholestérol) vendu 18,82 euros contient pour 2 euros de produits actifs. Et ainsi de suite.

Un documentaire qui avait fait grand bruit en 2001 sur la chaîne de télévision Channel 7 News de Détroit (USA), indiquait qu’une boîte de 30 gélules de Célébrex 100 mg contient pour seulement 0,2 dollars de produits actifs. Dans la mesure où cette boîte est vendue en France 13,12 euros, cela représente pour son fabricant Pfizer une incroyable « culbute » de 8 746 % (oui, ce n’est pas une erreur typographique). La palme revient toutefois au Prozac 20 mg, qui ne contient que pour 0,02 dollars d’ingrédients actifs pour 100 comprimés, alors qu’il est vendu 7,58 euros (+ 43 000 %). Dans certains secteurs, qui bénéficient d’une exclusivité ou d’un effet de marque fort (industrie du luxe), on peut voir des « coefficients multiplicateurs » de dix ou quinze. Ainsi le sac à main Louis Vuitton dont rêve l’épouse de votre voisin (il aurait d’ailleurs bien pu le lui offrir, depuis le temps !) est vendu 1800 euros mais coûte 200 euros à la production, fournitures et main-d’oeuvre comprises. La performance paraît honorable (+ 900 %), mais du point de vue de l’industrie pharmaceutique, Louis Vuitton donne quasiment dans le bénévolat.

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quelques liens médecins, santé, médicaments et escroqueries

« il ne fait aucun doute que le médecin induit la maladie est aujourd’hui l’un des (sinon la principale cause) de la maladie dans la plupart des soi-disant «développés» pays »
« Il est plus difficile de sevré les personnes des benzodiazepines que de l’héroïne. » professeur m Lader (1999)
 » La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. »
antidépresseurs, somnifères, benzodiazépines et autres…
Avocats, condamnations, class actions…
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Le scandale du prix des médicaments

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Politiques, médecins, hauts fonctionnaires, professeurs : tous d’accord pour nous empoisonner et nous escroquer de 10 milliards par an

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80% des médicaments ne servent à rien (mais sont dangereux !)

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trou sécu vidéo

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la responsabilité des médecins conseil

« La première chose à savoir (et peut être la
seule) c’est que, contrairement à ce qu’on nous raconte (les journaux,
les ministres…) , le médecin conseil ne contrôle pas les malades, il contrôle les médecins traitants, et plus précisément leurs prescriptions médicales« 

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Des prix de fous !

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plavix : la sécu paye 27 fois plus que le prix

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économiser 10 milliards d’euros sur notre consomation de médicaments

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Ils nous tuent lentement avec leurs médicaments

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Dr Moulinier – Révélations sur la Sécurité Sociale

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les médecins apparaissent collectivement responsables d’une partie de la béance de la Sécurité Sociale.

      Rebelles, les toubibs ? Non, avant tout trop nombreux. On en dénombre 180000 en France métropolitaine, dont 86000 spécialistes. 3 fois plus qu’il y a vingt ans, 2 fois plus qu’en Angleterre.
      La voilà, la première explication du dérapage des dépenses de soins : la folle concurrence que se livrent les blouses blanches.  » C’est dur à dire, mais nous sommes aussi des commerçants « , reconnaît le Docteur Philippe Sopéna, numéro 2 du syndicat de généralistes MG de France. Sauf que les commerçants se battent à coups de rabais. Les médecins, eux, fidélisent leur clientèle trop souvent grâce à des prescriptions remboursées par la Sécurité sociale. 
      Il faut dire que les patients en redemandent. (…) Et, surtout des boites de gelules. Jusqu’à la frénésie.  » Un médecin qui laisse partir ses malades sans leur administrer au moins deux médicaments passe pour un mauvais « , déplore un jeune généraliste lyonnais.  » Il est plus facile et plus rapide de prescrire un examen que de passer trente minutes à écouter son patient « , renchérit le Dr Lehman, généraliste dans les Yvelines. 
      Tous ne font pas cet effort,en effet. D’après les statistiques de l’Assurance Maladie, la durée moyenne des consultations est de 18,8 minutes. En revanche, les médecins administrent une ordonnance moyenne de 3,8 lignes. Un record du monde. Ainsi biberonnés au stylo encre, les Français sont peu à peu devenus les champions de l’absorption moléculaire. Ils avalent, par exemple, 2,5 fois plus d’antibiotiques que les Allemands, 19 fois plus de vasodilatateurs que les Anglais. Et pas du deuxième choix : les praticiens optent souvent pour des médicaments dernier cri, donc plus chers.  » Médicalement, ça ne change pas grand-chose, reconnaît le Docteur Sopéna. Mais ceux qui en restent aux vieilles spécialités passent pour ringards ». 
       Cette propension des blouses blanches à prescrire plus que de besoin s’explique aussi – c’est la deuxième raison du gaspillage – par leur sensibilité à la pression des laboratoires pharmaceutiques. (…) 
       Difficile d’échapper à la force de frappe marketing des géants du médicament. Rien qu’en France, ils y consacrent 10 milliards de francs par an.  » J’exercerai mon art dans la pureté et l’innocence « , recommande le serment d’Hippocrate, guide de la déontologie du métier. Assaillis de visiteurs médicaux, conditionnés par une presse sponsorisée par l’industrie pharmaceutique, couverts de petites attentions, guidés par un système de formation continue aux mains des labos, certains praticiens ont du mal à tenir le cap. (…) 
       Le cas des médicaments génériques en est un bon exemple. Copies de molécules tombées dans le domaine public, donc moins chers, ils ont déjà conquis le marché de nombreux pays industrialisés. En Allemagne, un médicament sur trois est un générique. En France, pas même un sur trente. Très en retard sur leurs concurrentes, les firmes françaises font tout pour repousser leur arrivée. » Le seul remplacement du Lipanthyl par du Sécalip (hypolipidémiantgénérique) pourrait faire économiser plus de 300 millions à la Sécu ! » s’emporte Jean-Pierre Davant, le président de la Fédération nationale de la Mutualité française. « Pourquoi les médecins ne le prescrivent-ils pas ?  » 
      Prisonniers d’enjeux financiers qui les dépassent, les praticiens accusent régulièrementle  » système « qui, intrinsèquement, les pousse à la dépense. Et ils n’ont pas tort. La France est le seul pays au monde à combiner paiement du praticien à l’acte (et non auforfait comme en Grande-Bretagne), liberté totale de prescription et remboursement à guichets ouverts. Une architecture ultralaxiste qui permet à beaucoup de praticiens libéraux de fixer eux-mêmes le niveau de leurs gains. Jusqu’à, parfois, en abuser. C’est le troisième reproche qu’on peut leur faire.  » Certains de mes amis spécialistes le reconnaissent, raconte le Pr Béraud. Le 15 du mois, ils regardent où ils en sont. S’ils ont pris du retard, ils forcent un peu pendant la deuxième quinzaine. 
       Forcer ? Parents pauvres du secteur (certains sont au Smic), les généralistes n’ont guère d’autres ressources pour arrondir leurs fins de mois que de faire revenir leurs patients(…). Or cette pratique du  » revenez-y » conduit à bâcler les consultations. Ce chef de clinique d’un grand hopital parisien le sait mieux que quiconque : interniste, une spécialité qui monte, il  » récupère  » les malades dont l’affection demeure mystérieuse.  » Avant d’arriver dans le service, nos patients ont navigué entre plusieurs cabinets, des piles d’examens sous le bras. Souvent, leurs médecins n’ont même pas pris le temps de les écouter « , observe-t-il.
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Adieu Sécu de Claude Frémont

La lutte contre les fraudes à la sécurité sociale . Les psychiatres qui consultent 365 jours par an ; les pharmaciens qui fabriquent de fausses vignettes….

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le trou de la sécu n’existe pas

a – Une partie des taxes sur le tabac, destinée à la Sécu, n’est pas reversée. 7.8 Milliards
b – Une partie des taxes sur l’alcool, destinée à la Sécu, n’est pas reversée. 3.5 Milliards
c – Une partie des primes d’assurances automobiles destinée à la Sécu, n’est pas reversée 1.6 Milliards
d – La taxe sur les industries polluantes destinée à la Sécu, n’est pas reversée 1.2 Milliards
e – La part de TVA destinée à la Sécu n’est pas reversée. 2.0 Milliards
f – Retard de paiement à la Sécu pour les contrats aidés 2.1 Milliards
g – Retard de paiement par les entreprises 1.9 Milliards

En faisant une bête addition, on arrive au chiffre de 20 milliards d’euro.
Conclusion, si les responsables de la Sécu et nos gouvernants avaient fait leur boulot efficacement et surtout honnêtement, les prétendus 11 milliards de trou seraient aujourd’hui 9 milliards d’excédent.

Ces chiffres sont issus du rapport des comptes de la Sécu.

http://scandales.mondiaux.free.fr/

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médicaments : danger !

nos médecins nous tuent : danger médicaments

la parole aux victimes survivantes

« Le vioxx a tué 60 000 personnes et provoqué 140 000 crises cardiaques. »
« Les neuroleptiques atypiques comme Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans des utilisations non approuvées. »

« AVANDIA® : 83.000 accidents cardiaques aux USA, »

…antidépresseur, anti cholesterol, agreal, thalidomide, benzodiazépine, maladie nosocomiale, roaccutane…

« Il y a plus de 2 millions d’hospitalisations et 180.000 décès chaque année aux États-Unis uniquement due à des réactions indésirables aux médicaments »

« Au cours des 10 dernières années, il a été estimé que la médecine a blessé 191 millions d’Américains et tués plus de 8 millions – plus de la totalité des pertes américaines à l’ensemble de nos guerres mondiales combinées »
« Une médecine répugnante »

« je considère le médecin qui pratique la médecine moderne comme le plus grand danger pour la santé. »
« les gens seraient en bien meilleure santé si la médecine moderne disparaissait à 90% »
« Le médecin, qui était une fois notre agent guérisseur, est devenu aujourd’hui celui qui nous rend malade. »

Pour Marcia Angell, médecin et ancienne membre de la rédaction en chef du New England journal of Medecine, « Il n’est plus possible de croire les recherches publiées, ni de se fier au jugement de son médecin de famille »

« Les médicaments mis sur le marché sont, d’une façon ou d’une autre, de la fausse monnaie. Le médecin qui prescrit ne sait pas forcément ce qu’il fait. La raison? Les décideurs du système de santé se laissent en grand nombre corrompre par les groupes pharmaceutiques ».

« cette situation est aussi bien vraie aux Etats Unis qu’en France. »

La fraude médicale, les rois de la corruption


4 pages de vidéo pour ne pas mourir idiot 


« la médecine tue les gens, les médicaments les empoisonnent » 
« l’intérêt des patients n’a aucune importance »
docteur Ghislaine Lanctôt  extrait de : la mafia médicale
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La couteuse solution d’un internaute

 « j’ai trouvé la solution suivante . Je vais
régulièrement le voir et je le paye (le médecin), car il faut bien qu’il
vive . Je vais ensuite chez le pharmacien , je prend les médicaments et
je le paye car il faut bien qu’il vive . quand je rentre chez moi je met tout à la poubelle car moi aussi je veux vivre . »

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quelques livres médecine, médicaments et santé

« La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. »
la médecine est le premier vrai danger pour la santé. la médecine fait plus de malades qu’elle n’en guérit
Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste… Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins… Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité… Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir»
« Or les médicaments sont aussi des substances dangereuses, à manier avec précaution. Il y a bien sûr les scandales récents qui ont secoué la France. L’affaire du Mediator n’est nullement une exception, elle est plutôt la règle : on assiste depuis une vingtaine d’années à une avalanche de scandales pharmaceutiques à travers le monde, pour la plupart bien plus graves que celui du Mediator et impliquant quasiment tous les grands laboratoires mondiaux. Étrangement, ces affaires retentissantes n’ont pratiquement pas eu d’écho en France. Sans doute a-t-on considéré qu’il s’agissait de problèmes qui ne nous concernaient pas, un peu comme le fameux nuage de Tchernobyl. Pourtant, les entreprises impliquées sont des multinationales implantées sur notre territoire comme sur le reste de la planète et leurs médicaments étaient (ou sont encore) commercialisés également en France. À l’ère de la mondialisation, les molécules circulent aussi librement que le pétrole ou les courriels. »On ne peut plus dire qu’il s’agit de cas isolés de corruption , de quelques « méchants » qu’il suffirait de mettre en prison. Les experts, les scientifiques, les médecins, les politiciens, tous ces gens font simplement leur travail – ils sont même, dans leur grande majorité, bienveillants et de bonne foi. Ce que révèlent les scandales, par leur répétition même, c’est justement cela : la banalité du mal pharmaceutique, son caractère systémique, industriel. Il y a quelque chose de pourri au royaume de Médecine , comme il est dit dans Hamlet. Nous le sentons tous obscurément, mais nous hésitons à nous l’avouer. Nous voulons continuer à croire que la médecine est « basée sur des preuves », comme on nous le répète tout le temps, que nos médecins sont vigilants et bien informés, que les agences sanitaires ne permettront plus qu’on nous vende des médicaments inutiles et dangereux. Nous voulons continuer à croire en la médecine, car elle a été porteuse depuis la révolution thérapeutique de la fin du XIXe de tous nos espoirs en une vie longue et sans douleur. Mais cette médecine que nous avons connue n’existe plus. Comme on va le lire dans ce livre, les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires . Les médecins reçoivent leur formation et leurs informations de l’industrie pharmaceutique. Les agences sanitaires approuvent de façon désinvolte des médicaments totalement inefficaces, tout en protégeant le « secret commercial » des données négatives fournies par les firmes. À tous les niveaux, le profit des industries passe AVANT l’intérêt des patients.
Effets secondaires – LA MORT, Sans corruption pas de médicaments le livre ecrit par John Virapen devoile la corruption pour mise sur marché de médicaments qui vous tuent « Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie pharmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »
Le Dr Jerome Kassirer propose un regard inquiétant sur les pots-de-vin que des médecins acceptent des géants de l’industrie pharmaceutique et d’autres fournisseurs. II fait valoir que les milliards déversés par l’industrie ont détraqué la boussole morale de plusieurs médecins, et que ces combines ont miné la qualité des soins que nous prodiguent au jour le jour les médecins et les institutions qui avaient toute notre confiance. Bourré de véritables histoires d’horreurs, ce livre met en lumière les manigances financières entre les grosses compagnies qui fabriquent les médicaments et les médecins qui les prescrivent.
Corruption systématique: L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia. Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme. En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée. Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie. Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. ….Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia
pharmageddon (anglais) : l’hisoire d’une tragedie par le prof david Healy L’espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de la dernière des médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d’espérance de vie que nous l’étions il ya 100 ans.
Le livre noir des médecins stars L’auteur évoque ici le régime des retraites des 6000 professeurs de médecine (PU-PH), choyés par les politiques. En 2007, alors qu’il était ministre de la Santé, Xavier Bertrand avait mis en place, à leur intention, un système d’abondement plafonné à 2000 euros par an. En 2012, il renforce ce dispositif, mais en toute discrétion…
CONFESSIONS D’UN MEDECIN REVOLTE Extrait : « Les médecins sont soumis à une sorte de lavage de cerveau durant leurs études et ils croient presque tous ces mensonges enseignés volontairement. Ils prétendent donc qu’il existe des cellules humaines malignes, dégénérées, appelées cellules cancéreuses. D’après les « experts du cancer » ces cellules malignes doivent impérativement être tuées au moyen de thérapies destructrices. Qu’elles fassent partie d’un ensemble plus grand de cellules, nommé être humain, n’entre évidemment pas en ligne de compte. De même il n’est discuté dans aucune faculté occidentale si les cellules cancéreuses sont réversibles et si elles peuvent de nouveau se différencier en cellules tout-à-fait normales. Un cancérologue connaît l’anatomie et pourra vous dire pourquoi vous avez tel ou tel organe. Mais que sait-il au fond du cancer ? Dans les facultés et les cliniques, il apprend seulement qu’il faut procéder à l’ablation de la tumeur ou la détruire par chimiothérapie ou rayonnement. Et si la théorie de la destruction indispensable de la tumeur était FONDAMENTALEMENT fausse ? Ne vous êtes vous jamais demandé pourquoi 230.000 personnes environ meurent chaque année du cancer en Allemagne MALGRE, dans la plupart des cas, une destruction préalable de leur tumeur ? Avez-vous seulement osé vous demander si tant de personnes ne seraient pas mortes PARCE QUE leur tumeur a été tuée ? Je dis bien tuée !
La médecine moderne est gérée par une oligarchie puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parvient à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens financier. Des médicaments, des vaccins, des biens de consommation dangereux sont mis sur le marché et y demeurent, malgré les accidents provoqués. Le Dr Louis De Brouwer, par une documentation rigoureuse, n’hésite pas à démontrer l’existence de fraude, d’abus de confiance et d’escroquerie au sein de notre système de santé.
mensonges et vérités de diana Kircsh
extrait : « voila un exemple flagrant d’une manipulation des statistiques. La plupart des gens ne réalisent pas que l’augmentation de la durée moyenne de vie est surtout le résultat de la réduction du taux de mortalité infantile. Il y a cent ans, beaucoup d’enfants mouraient à la naissance et…Si cette réduction de taux en mortalité infantile est enlevée de l’équation, l’espérance de vie a seulement augmenté de 3,7  années depuis ces derniers 100 ans ! »
« la médecine moderne est devenue à présent la source primordiale des maladies » Spéculant sur l’ignorance et sur les souffrances d’innombrables personnes, sur leur peur constante de la douleur et de la maladie, soutenue par les mass médias, cette «pseudo-science» a créé l’illusion qu’elle détiendrait des pouvoirs mystérieux et illimités, dont le salut de l’humanité dépendrait. Ainsi donc, les peuples de l’hémisphère occidental se sont prosternés avec crainte et servilité à ses pieds, s’en faisant l’image d’une déesse omniprésente d’une beauté insurpassable, vêtue d’or et de brocart, ne pouvant être contemplée par le commun des mortels sous peine d’aveuglement.
La médecine est elle devenue folle?
« Il y a plus de 2 millions d’hospitalisations et 180.000 décès chaque année aux États-Unis uniquement due à des réactions indésirables aux médicaments »
Rapport mondial sur la corruption 2006 – « Corruption et santé » Le marché planétaire de la santé brasse en effet chaque année plus de 3 000 milliards de dollars. Il intéresse de plus en plus la grande criminalité internationale aussi bien que les fraudeurs de moindre envergure, infirmiers, médecins, administrateurs, entreprises du bâtiment ou fabricants qui détournent fonds ou matériel, font payer des services officiellement gratuits, maximisent abusivement leurs profits, truquent les marchés publics, fabriquent ou distribuent des contrefaçons de médicaments. Aucun pays n’est épargné par la gangrène qui vérole le secteur de la santé. Et cela, à des niveaux divers, selon le degré de contrôle des réseaux de soins, de distribution des produits pharmaceutiques ou d’assurances maladie, mais toujours au mépris des patients et des contribuables qui financent les services publics
Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs, et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer les bienfaits des traitements. C’est sans surprise que ces études produisent des résultats qui favorisent le produit testé. Quand les essais cliniques ne donnent pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des patients ce qui laisse une image distordue de la réalité. Ces faits distordus sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les associations de patients et les universités. Le résultat est que dans la plupart des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace. Des études cliniques biaisées Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests, mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs. Donc, si dix séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles. Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique. Les six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne montraient aucune amélioration face au placebo. Les conséquences négatives des « données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles concernent aussi la sécurité des patients. Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli. Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée. Il y a seulement la moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées. Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués, voire dangereux.
En écrivant L’envers de la pilule, J.-Claude St-Onge a ouvert une véritable boîte de Pandore. Tant de choses ne tournent pas rond dans notre système de santé, l’industrie pharmaceutique et nos rapports à la médecine! L’auteur dévoile dans ce nouvel ouvrage le fruit de ses recherches, une mine d’informations fouillées, claires et souvent choquantes. Par exemple : les raisons pour lesquelles tant d’essais cliniques ne sont pas fiables; la démonstration que le fabricant du Vioxx devait savoir que son médicament était dangereux pour le cœur; la portion exagérée du coût des médicaments qui est due au marketing; de nouvelles preuves que les antidépresseurs poussent certains utilisateurs au suicide et qu’ils n’ont pas l’efficacité qu’on leur prête; la démonstration qu’une autre politique du médicament est possible et peut sauver des vies et des milliards de dollars; la façon dont on invente de nouvelles maladies pour nous abonner aux pilules; comment les agences de contrôle jouent à la roulette russe avec nos vies; la constatation que le virus de la grippe aviaire est connu depuis au moins un demi-siècle et qu’il n’a pourtant jamais provoqué la pandémie si redoutée; et une foule d’autres renseignements qui pourraient vous protéger contre les dérives
La vérité sur les compagnies pharmaceutiques : Comment elles nous trompent et comment les contrecarrer de dr Marcia Angell Des millions de personnes normales ont ainsi été amenées à croire qu’elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles « la préhypertension », « le désordre d’anxiété généralisée », « le syndrome prémenstruel dysphorique »
« Si on pouvait autrefois espérer trouver un jour un traitement pour chaque maladie, nous explique Jörg Blech, les marchands de la santé, aujourd’hui plus que jamais, semblent plutôt vouloir trouver une maladie pour chaque molécule fabriquée. En manipulant
Mais comment l’Etat en est-il arrivé à jouer ainsi contre les intérêts des patients et la nécessité de réduire les dépenses médicales? Parce que, comme le disent officiellement et dans les mêmes termes l’ONU et les parlements américain et britannique, «l’industrie est une pieuvre infiltrant toutes les instances décisionnelles nationales et internationales, les gouvernements, les grandes administrations, les institutions, les sociétés savantes médicales et les médias». Voilà pourquoi nos commissions d’évaluation tournent en rond, laissant passer des molécules inefficaces et dangereuses alors qu’elles savent que les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs. …Les médecins se vendent pour un plat de lentilles.
Drug-Induced démentia : a perfect crime (les médicaments qui induisent la démence : un crime parfait) Repenser les drogues psychiatriques: Un guide pour le consentement éclairé, a souligné le besoin urgent pour les sociétés et les systèmes de soins de santé à reconnaître la nocivité inutile de médicaments psychiatriques, et pour protéger les droits de ceux qui veulent des oins sans drogue .  En misant sur ce même thème, d’origine médicamenteuse démence: un crime parfait présente une analyse méthodique des données scientifiques et épidémiologiques qui confirme les  médicaments psychotropes comme une cause de lésions cérébrales et de décès prématurés. Espérons que ces publications seront utilisées par les profanes, les cliniciens, les avocats et les décideurs politiques à améliorer la qualité et l’intégrité des soins de santé, et de sauvegarder le droit fondamental de tous les patients pour éviter des lésions corporelles injustifiée – en particulier, lorsque ce dommage survient dans le forme de désinformation, frauduleux, et / ou coercitives (involontaire) de soins médicaux.
« la médecine tue les gens, les médicaments les empoisonnent »
MEURTRE PAR INJECTION explique comment l’impitoyable Rockefeller Syndicate – sous le contrôle de la structure financière mondiale, principalement les Rothschild – joue les principaux rôles politiques, sanitaires et éducatifs en Amérique. Le livre décrit les différentes branches de la Rockefeller Syndicate et leurs fonctions: Oil Trust Rockefeller, qui intègre une grande partie du complexe militaro-industriel américain, a le contrôle politique de la nation; Lel Monopoly Medical Rockefeller atteint contrôle des soins de santé de l’Amérique; et la Fondation Rockefeller, un réseau d’affiliés fiscales créations exonérées, contrôle efficacement l’éducation.
Mullins spécifie les noms, beaucoup d’entre eux appartenant à des personnalités publiques connues en Amérique. Les entreprises et leur conseil d’administration sont répertoriés avec toutes leurs connexions.
gratuitement en ligne ouvrage de 210 pages
Bealle utilisé son expérience professionnelle à faire un peu de creuser profondément dans la situation la liberté-of-the-presse et est venu avec deux éclatement expose – « L’histoire des médicaments », et « La Chambre des Rockefeller. » Le fait que, en dépit de sa familiarité avec le monde de l’édition et de nombreux contacts personnels importants, il ne pouvait pas obtenir ses révélations dans la copie jusqu’à ce qu’il fonde sa propre compagnie, The Columbia Publishing House, Washington DC, en 1949, était un excellent exemple de la censure silencieuse mais inflexible en vigueur sur «la terre de la liberté et la patrie des braves ». Bien que l’histoire de drogue est l’un des livres les plus importants sur la santé et la politique jamais à apparaître aux Etats-Unis, il n’a jamais été admis dans une grande librairie, ni examinée par aucun document de mise en place, et a été vendu exclusivement par courrier. Néanmoins, quand nous sommes arrivés à le lire, dans les années 1970, il était déjà dans sa 33e impression, sous une étiquette différente – Biworld Publishers, Orem, Utah….
…Ainsi les journaux continuent d’être nourris avec de la propagande sur les drogues et leur valeur présumée, même si, selon la Food and Drug Administration (FDA) 1,5 million de personnes ont débarqué dans les hôpitaux en 1978 en raison des effets secondaires des médicaments aux États-Unis seul, et malgré les déclarations récurrentes par intelligente et les médecins courageux que les articles les plus pharmaceutiques en vente sont au mieux inutile, mais le plus souvent nuisible ou mortelle dans le long terme….
on apprend que tout médicament comporte des risques, qu’une étude effectuée au Québec a révélé que 52 % des prescriptions par ordonnance sont risquées ou dangereuses, qu’aucune étude prouve l’efficacité des médicaments expectorants et antitussifs, que les médicaments occuperaient entre la quatrième et la sixième place dans les causes de mortalité, tout ça pendant que les PDG des industries pharmaceutiques gagnent en moyenne un revenu annuel de 21 millions de dollars chacun. Instructif, critique et bien documenté.
L’auteur prend le risque de dénoncer les pratiques frauduleuses de l’industrie pharmaceutique qui nous cache les effets indésirables de nombreux médicaments. En France, des effets secondaires tels qu’hépatite, infarctus, cancer, méningite, impuissance, avortement sont volontairement occultés !
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